Actualités
2021 Semaine 41

Seachange entre au Conseil de Paris
Publié le DIMANCHE 17 OCTOBRE 2021


Lauréat des deux listed-races du jour, Olivier Peslier n’aura cependant pas eu le bonheur de monter Monty, déclaré non partant dans le Prix du Conseil de Paris (Grp. II) quelques minutes avant le départ. Dommage pour l’un de nos meilleurs jockeys qui aurait pu remporter son quatrième « Conseil » et égaler les recordmen Yves Saint-Martin et l’Australien Rae Johnstone. Maxime Guyon est alors entré en scène afin d’y triompher pour la seconde fois de sa carrière après son sacre en 2014 sur Manatee pour l’entraînement d’André Fabre. Associés hier, adversaires aujourd’hui… car Seachange, la seule pouliche de l’épreuve, enlevait un sprint endiablé jusqu’au passage du disque face à Mr de Pourceaugnac. André Fabre ne portera pas ce trophée une neuvième fois pour une tête malgré tous les efforts de Hugo Besnier. Victorieuse de listed dans « la Pépinière » à Chantilly, deuxième de la Coupe de Maisons-Laffitte (Grp. III), la gagnante du jour aux couleurs Wertheimer grimpe quat à elle les marches avec une certaine application, de quoi satisfaire Carlos Laffon-Parias qui gère adroitement sa carrière depuis ses débuts. Ainsi s’est achevé par un succès tricolore l’avant-dernier grand rendez-vous automnal de Longchamp. Le Prix Royal-Oak (Grp. I), au programme dimanche prochain, a déjà un goût de nostalgie.


Highbari fait de ParisLongchamp son quartier général
Publié le DIMANCHE 17 OCTOBRE 2021


Stoppé net dans sa progression le jour de sa rentrée après quatre mois d’absence, Highbari avait néanmoins montré à Saint-Cloud en ce 18 septembre qu’il n’avait pas passé que des vacances détente et bronzette. Et l’agenda était à l’avantage de l’élève de Mathieu Brasme qui retrouvait dimanche, soit pile poil un mois plus tard, le parcours de 1700 mètres avec arrivée au deuxième poteau. Ce fameux tracé où il avait devancé Aiguière d’Argent au printemps dans une deuxième épreuve de handicap. Toujours entreprenant à ParisLongchamp, le partenaire de Fabrice Véron a toutefois dû faire d’un sordide numéro 15 dans les boîtes un véritable atout. Encore très loin de l’animateur Kemoco Bello à mi-ligne droite, Highbari prolongeait son effort en pleine piste, grapillait du terrain au fil des décamètres et dominait aux abords du poteau les deux « Bello », Goldino et Kemoco. Roderick, finalement quatrième, venait quant à lui à bout du favori Hooking qui a longuement dû ronger son frein avant de produire son habituelle accélération. Après Golden Gold (entraînement Sonia Delaroche) victorieuse il y a un mois au Val d’Or, l’écurie Bader récidive sur l’anneau du Bois de Boulogne au nom d’un même père : Zanzibari.


​Julien Raffestin : Jasmin Mérité, c’est waouh
Publié le DIMANCHE 17 OCTOBRE 2021


Un samedi sur deux Le Veinard s’invite dans la cour d’un professionnel.
 
A trois semaines de nouvelles aventures hivernales à Vincennes, Julien Raffestin, entraîneur basé à Grosbois, ne modifie en rien sa méthode. « Je ne m’arrête pas spécialement sur cette période. J’essaie surtout de courir à bon escient mes pensionnaires, même si l’on peut constater qu’il y a parmi mes victoires une grande majorité de courses premium. Le nerf de la guerre reste l’argent et si l’on veut durer il faut en gagner, donc je préfère diriger moins de trotteurs et axer mon travail sur ceux qui ont la pointure parisienne », précise Julien à la tête d’une écurie de trente-cinq éléments dont les poulains. « Mes bons chevaux, je gère leur carrière depuis leurs débuts. Je les ai fabriqués. C’est plus intéressant que de les récupérer chez les autres. J’ai eu la chance d’avoir une très bonne génération de « G », de bons « F » aussi, autant de trotteurs qu’on a attendus et qui arrivent à maturité. La patience finit toujours par payer », poursuit cet excellent pilote qui, dans sa jeunesse, avait remporté le Prix de Vincennes (Grp.I) avec Quiléa Jiel, apothéose d’un septennat chez Jean-Luc Dersoir qui l’avait révélé au plus haut niveau. « C’est le défi que je me suis lancé. J’ai remporté un Groupe I en tant que jockey, il m’en faut désormais un en tant qu’entraîneur ». Ses partenaires du matin lui en montrent en tout cas la direction et notamment le jeunot Jasmin Mérité. « C’est un poulain doué naturellement, très trotteur, facile à entraîner. Il est encore très vert mais ce qu’il vient de montrer à Enghien avec si peu de métier est très encourageant. Je l’ai senti plus concerné, il comprend très vite, bref il me fait rêver. Il est waouh ! Il disposera d’une course intermédiaire en début de meeting où j’espère qu’il ouvrira son palmarès avant d’affronter les bons. Gloire Joyeuse est la base de mes débuts. J’ai entraîné Toccata Joyeuse, sa mère, durant 4 ans. Elle avait lancé ma carrière. J’ai aussi eu sa petite sœur, Cabalera, qui nous a également fait vibrer. C’est une famille qui trotte. Au point de vue moteur, Gloire est encore un cran au-dessus de ses ainés. Elle a le profil pour lutter avec les meilleurs. J’ai de belles ambitions avec elle, même si elle reste très compliquée. Tout comme avec Forever Speed qui va monter gentiment dans la hiérarchie par les chemins de traverse. Il a vraiment beaucoup évolué et je crois même, si j’en juge sa course à Rambouillet, qu’il pourrait faire à l’attelé des choses intéressantes.  Faucon de l’Alba est un tout bon cheval. Galaxie de Flam est une chic jument qui a montré des moyens d’emblée en compétition. Comme elle appartient à un ami c’est encore mieux. Elle a franchi un palier depuis qu’on l’a déferrée. Gipsy du Ried ne m’a pas surpris lundi à Enghien. C’est une Love You, donc pas forcément précoce. Elle arrive à maturité. Gringo Sava a connu un petit souci à un tendon. Il retravaille depuis peu et tout est rentré dans l’ordre. Il affiche de bonnes références et de bons chronos et devrait être revu cet hiver. Parmi les 4 ans, Heva Chaléonnaise reste un peu spéciale et pénible à entraîner mais possède beaucoup de vitesse. Hermine Captain travaille bien et demeure en retard de gains, alors que Hope and Glory sera essayé mercredi à gauche à La Capelle. Elle est spéciale, sanguine, autoritaire mais commence à s’amender. Elle alterne les deux spécialités mais je la préfère à l’attelé. Enfin, Image de Flam, la sœur de Galaxie, a du potentiel ». Puis d’ajouter, « Je progresse gentiment mais sûrement. On sait qu’avec les chevaux il y a des aléas. Il faut les garder en forme, contourner les soucis, travailler sur la suite, penser à l’avenir. Nos chevaux ne sont pas éternels. Mais une chose est certaine, l’écurie est en forme. Et ça tombe plutôt au bon moment ».
 
Fabrice Rougier


Foreign Flower renaît dans le Prince d’Ecouen
Publié le SAMEDI 16 OCTOBRE 2021


Quatre ans et demi. Oui, le dernier succès de Foreign Flower remontait, c’est presque incroyable, à avril 2017. En terrain très souple comme ce fut le cas samedi dans le Quinté disputé à Auteuil. Entre temps, l’élève et propriété de Robert Collet n’avait pourtant pas chômé, réalisant une lucrative année 2020 avec plus de 70 000 € d’allocations glanées à la place. Seulement, sa seconde course de rentrée à Compiègne, après quinze mois passés dans les coulisses, avait bien plus que refroidi son mentor. Alors, le metteur au point cantilien s’est pleinement consacré au fis de Poliglote avant de demander à Ludovic Philipperon, son habituel partenaire, d’être plus offensif. Des ordres absolument respectés, sans mettre son associé dans le rouge, si ce n’est entre les deux derniers balais pour déjà défier l’animateur Grand Oncle sur l’ultime obstacle. Bien placé dans le bas du tableau avec ses 57 de valeur, le futur lauréat n’avait plus à forcer le trait pour repousser les velléités de son principal rival, pas plus que celles de Elvis de Balme et de Pollexfen qui concluait en solitaire le long de la corde. Clondaw Cian s’affichait cinquième après une longue course d’attente. Robert Collet peut souffler. Dans ce Prix Prince d’Ecouen, il fuit bien question d’une renaissance dans la pure tradition d’Anne de Montmorency.


Benjamin Boitez : On devrait tous mener le même combat
Publié le VENDREDI 15 OCTOBRE 2021


Avec Benjamin Boitez, l’Association Nationale des Turfistes prend un nouveau tournant après 25 ans d’existence. Le nouveau président se donne deux ans pour intégrer, comme il le nomme, le haut de la pyramide afin que les parieurs soient enfin reconnus comme des acteurs majeurs de la filière hippique. Nouveau bureau surmotivé, présence accrue sur tous les réseaux sociaux, le premier objectif reste néanmoins la croissance du nombre d’adhérents pour gagner en représentativité.  

Lors de son assemblée générale du 3 octobre dernier, le fondateur de l’Association Nationale des Turfistes, Eric Hintermann, a tendu le flambeau de la présidence à Benjamin Boitez après 25 ans de dévouement à saluer. Une lourde responsabilité pour ce jeune quinquagénaire, cadre dans le domaine du transport de courrier, qui n’est pas arrivé comme une lettre à La Poste. « Je suis un fervent défenseur des courses depuis mon plus jeune âge, initié par un père qui m’emmenait régulièrement sur les hippodromes. Je me suis donc pris de passion pour le jeu, en particulier, mais aussi pour les chevaux. J’ai même réalisé un stage à l’école du Moulin à Vent à Gouvieux pour devenir jockey. Cela m’a permis, en tant qu’amateur, de monter quelques lots le matin chez monsieur Alain de Royer Dupré à Chantilly, notamment. De rencontrer beaucoup de personnes de la profession, de garder des amis et plein de contacts. J’étais pour tout vous dire de la promotion d’Olivier Peslier. J’ai par la suite construit ma vie professionnelle loin des écuries tout en suivant les courses en permanence. C’est bien plus qu’un passe-temps. Le décès de mon papa, en 2012, m’a conduit à devenir propriétaire. Nous avions ensemble le projet d’investir dans un pur-sang. Sa disparition m’a probablement surmotivé et j’ai acheté une jument à réclamer, Miss Cotil, aujourd’hui devenue poulinière. Je l’ai gardée pour disposer en Normandie d’un petit élevage donnant quelques produits. J’ai ainsi commencé en tant que turfiste. J’ai grandi. Je suis devenu cavalier, puis propriétaire. Alors quand Alain Kuntzmann, ex vice-président de l’ANT, m’a dit est ce que ça pourrait t’intéresser de prendre la succession d’Eric qui a beaucoup donné en 25 ans, j’ai pris le temps de réfléchir », explique ce Francilien qui n’a pas forcément trop eu le temps de tergiverser.

"Renverser cette organisation"

« Cet été, deux ou trois événements dans les courses m’ont interrogé, la refonte du site du PMU m’a aussi un peu agacé. Avec l’ANT, on dispose d’un outil qui doit permettre de nous remettre en selle pour participer à la vie des courses et leur organisation. Depuis plusieurs années, l’association n’est plus consultée, ni entendue, ni reçue par France Galop et Le Trot. Seul Cyril Linette a fait preuve d’un peu d’écoute lors d’une entrevue. Aujourd’hui, les parieurs forment la base de la pyramide. Je parle de tout ce public qui joue et alimente l’ensemble de la filière hippique dans le cadre d’un système de pari mutuel. Assez bizarrement au-dessus de ce socle on retrouve les institutions (ministère de tutelle, le PMU, des autorités de régulation comme l’ANJ). Cependant la base n’est plus respectée, les décisions se prennent au sommet de la pyramide, sans même s’intéresser à ceux qui représentent l’essence même du moteur. Il est grand temps de renverser cette organisation pour que les propositions émanant de la base soient davantage prises en considération. Attention, je ne préconise pas d’être un acteur statutaire. Mais dans 2 ans il y aura des élections et j’aimerai à minima qu’on obtienne un siège avec un avis consultatif dans les commissions, dans les comités, dans les conseils, du PMU comme des sociétés mères.  Il ne faut pas que le parieur se sente lésé et négligé », poursuit Benjamin tout en étant bien conscient de l’ampleur de la tâche.

"Nous avons plus de pouvoir qu'on ne peut l'imaginer"

« Ce combat ne va pas être simple, mais avant cela il faut renforcer notre assise, convaincre les turfistes d’adhérer à l’association. Pour aller discuter avec les deux présidents, avec le patron du PMU, l’ANJ, il faut qu’on soit représentatifs. La régularité des courses, les dysfonctionnements de la nouvelle appli pmu.fr et les améliorations à y apporter en urgence, les décisions des commissaires, les affaires de doping, ça parle à tout le monde. Si le doping est au même titre que pour les chevaux un poison pour les entraîneurs et les propriétaires, je vous assure qu’il l’est également pour les turfistes. Ça trompe le parieur, ça contrebalance toute étude et ce sont aussi des sujets sur lesquels on doit communiquer. Qu’on se le dise, Nous avons beaucoup plus de pouvoir, en tant que turfistes, que tout le haut de la pyramide ne peut l’imaginer. Toute vérité est bonne à dire même si elle dérange. Le bon et le mauvais cohabitent dans chaque décision, il faut simplement savoir trouver le point d’équilibre. C’est pourquoi via tous les réseaux sociaux nous renforcerons nos actions. Il faut s’appuyer sur la viralité des communications actuelles Relever la tête, remettre une association sur pied, la renforcer, agir tout en travaillant pour que la vérité soit faite sur tous les dossiers du quotidien, c’est maintenant qu’il faut s’en préoccuper d’où mon investissement. Il ne faut rien cacher. Si l’on continue dans ce système-là, c’est toute une filière qui mourra. Donc quelque part, on devrait tous mener le même combat. Mon ambition est tout de même assez grande. Il faudra du temps, des moyens, des personnes qui m’entourent pour pousser l’action, mais je suis assez optimiste. J’espère simplement ne pas me retrouver sur une île tel un Robinson complètement perdu et isolé (rires). Avec le nouveau souffle d’un bureau qui se veut porteur de changement, l’association a le vent en poupe. J’ai un bon bateau, un équipage surmotivé et je pense pouvoir rallier pas mal de matelots et les inviter à monter à bord ». Convaincante, l’ANT entend se hisser haut. Qu’importe les vagues si l’on dessine de nouveaux horizons dans l’intérêt général.
 
Renseignements et adhésion sur http://www.associationturfistes.fr/
 
Fabrice Rougier


Vents Contraires souffle le chaud
Publié le JEUDI 14 OCTOBRE 2021


Après deux tentatives infructueuses d’un point de vue comptable dans les handicaps, mais séduisantes à l’observation, Vents Contraires a soufflé le chaud jeudi à ParisLongchamp en enlevant son premier Quinté, le Prix Carrus. Pointé du doigt par de nombreux turfistes, malgré ce peu de références, le représentant de Carmen Bocskaï, muni d’œillères australiennes pour la première fois de sa carrière, allait totalement leur donner raison à deux cents mètres du poteau en attaquant sèchement Denia pour se préserver très tôt d’un éventuel retour. La favorite Romanosa ponctuait de belle manière son exercice et réglait tout à la fin Madison Avenue pour l’obtention de l’accessit d’honneur. Denia chutait aux portes du tiercé mais s’accrochait pour reléguer Ameera au cinquième rang. En ce terrain bon-souple, et d’autant plus sur ce tracé des 1600 mètres, les places à la corde auront une fois encore été déterminantes. Et pour cause, les cinq premiers s’élançaient des boîtes de un à huit. Au-delà, pour les malheureux perchés à l’extérieur, toute intrusion dans le Quinté relevait dès lors de l'exploit. Les vents contraires en plus !  


Eileen seule sur le sable
Publié le MERCREDI 13 OCTOBRE 2021


« Une belle opportunité » ! C’est en ces termes que Romain Derieux rejoignait la piste d'Enghien mercredi à l’heure du Quinté avec Eileen. Jument de classe du lot, dont la rentrée dans le Prix d’Ancenis n’était pas passée inaperçue, la fille de Royal Dream redescendait, bien plus encore, de catégorie pour ne trouver que des femelles sur sa route. Mieux qu’une opportunité, une bénédiction ! Et avec ce stratège de Romain Derieux, la messe a été rapidement expédiée. Après avoir attaqué au dernier passage en face, Eileen haussait le ton pour passer le disque… seule sur le sable. Sans avoir les pieds dans l’eau comme le chantait un autre roc (ou Roch). Eva de Guérinière, aussi à l’aise à l’envers qu’à l’endroit pour sa première participation à 7 ans sur un hippodrome corde à gauche, s’assurait l’accessit d’honneur après une belle lutte face à Extase du Bouffey. Chayanne de Calvi et Effigie Royale intégraient ensuite la bonne combinaison de l’événement du jour à Enghien. A trois semaines de l’ouverture du Meeting d’hiver de Paris-Vincennes, mais voyant également poindre celui de Cagnes pour nombre de ses pensionnaires, Romain Derieux peut afficher plus qu’un sourire, une grande sérénité.  


Avec Whizz Kid l'Allemagne persiste et signe dans les Quintés
Publié le MARDI 12 OCTOBRE 2021


Grâce à Whizz Kid, l'Allemagne a subtilisé un nouveau Quinté aux écuries françaises sur l'hippodrome de Saint-Cloud. Même s'il est désormais bien connu des turfistes de l'hexagone, le pensionnaire de Peter Schiergen avait déçu lors de sa plus récente représentation à ParisLongchamp. Enfin, déçu, le terme est plutôt mal choisi si l'on en juge le long parcours en épaisseur qu'il avait été contraint d'effectuer. Finalement, sans être des plus heureux, le fils de Teofilo avait bien lutté jusqu'au bout. Après deux participations de Quinté où le numéro dans les boîtes condamnait presque tout espoir de son élève, le mentor allemand se voyait enfin, mardi, nanti de la stalle n°2. Avec de surcroît l'apport de Cristian Demuro, bien des paramètres changeaient. Car ce dernier a parfaitement joué le coup en s'installant derrière Bid Adieu et Picnic Royal avant de mettre le clignotant en pleine piste pour surclasser ce lot à l'exception de Breath of Fire, certainement le plus chevronné dans cette catégorie et d'autant plus au Val d'Or. L'associé de Ronan Thomas réagissait, l'approchait dangereusement, mais Whizz Kid réenclenchait sans sourciller. Troisième, Tirano enlevait le sprint du peloton et beurrait les rapports du tiercé devant By My Side, Plain Beau et Galdan dans une même foulée. Ces coups d'éclat allemands (félicitons encore à l'entourage de Torquator Tasso, vainqueur de l'Arc 2021) nous feraient presque oublier les "fireworks" britanniques. C'est dire !


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