genybet
Actualités
2020 Semaine 51

Hanna des Molles élue Miss 3 ans
Publié le DIMANCHE 20 DECEMBRE 2020


Dimanche, à quelques minutes du départ du Critérium des 3 ans Helgafell, dont le heat n’avait rien pour ravir Eric Raffin, déclinait la lutte. Coup dur pour le spectacle… pour Philippe Allaire et plus généralement pour tout l’entourage du vainqueur du Prix Albert-Viel et du Championnat européen des 3 ans qui abandonnait son statut de favori à son voisin de box Hohnek. Un héritage difficile à assumer et une épreuve devenue plus ouverte que jamais. Cependant, l’associé de Yoann Lebourgeois a tout tenté en lançant les hostilités dans le tournant final. Mais, devant, Hanna des Molles, la « Poulidor » de ces dernières semaines, ne « mollissait » pas à en décontenancer son challenger qui baissait le rideau. Ce premier Groupe I du Meeting d’hiver, le troisième remporté par l’écurie depuis le second Cornulier de Bilibili, aura – certes officieusement - désigné Laurent-Claude Abrivard entraîneur de l’année. Alexandre n’est pas étranger à cette spectaculaire ascension. Les pouliches, comme à deux reprises sur les trois précédentes éditions, dictaient donc leur loi, Havanaise, résistant à Hooker Berry, pour devenir la première dauphine de la nouvelle miss de sa génération. Après une catastrophique mise en jambes, Hokkaido Jiel arrachait la quatrième place à la malheureuse Hirondelle Sibey, longtemps bloquée dans le sillage de Handy Bourbon qui ne progressait plus. Devant cette prise de pouvoir au féminin, Face Time Bourbon, Bold Eagle, Timoko, Ready Cash, lauréats de cette épreuve en leur époque et figurant parmi nos meilleurs géniteurs, ne peuvent que tomber sous le charme.     


Sobel Conway sème ses adversaires
Publié le SAMEDI 19 DECEMBRE 2020


Trois fois deuxième lors de ses plus récentes apparitions à Vincennes, Sobel Conway a mis le paquet ce samedi pour faire sien le Quinté, le Prix Michel-Thoury. D’abord patient dans la seconde partie du peloton, le petit suédois de Jean-Michel Bazire a enclenché au sommet de la montée laissant Ce Retour d’Oscar et Dexter Chatho sans voix à l’intersection des pistes. Le trou était creusé et l’élève de Christian Bigeon, sur son parcours de prédilection, ne parviendra pas à le combler malgré une très bonne conclusion. Ce Retour d’Oscar s’accrochait, sans réelle opposition, à sa troisième place tandis que Défi Pierji et Digne et Droit réservaient ensuite leur siège dans l’événement du jour. Après Abydos du Vivier en 2018 et Dreambraker en 2019, l’entraîneur-driver sarthois enlève ce joli Quinté pour la troisième année consécutive et confirme avec ses « Formules 1 » un début de meeting d’hiver sur les chapeaux de roues. Seul Ferrari B. R. est aujourd’hui resté au stand.  


Grand Jeu de Noël sur la page Facebook
Publié le VENDREDI 18 DECEMBRE 2020


Alors que sa page Facebook célébrera en janvier son premier anniversaire, le Quotidien hippique Le Veinard organise un grand jeu concours avec de nombreux lots à gagner notamment des doudounes « Le Veinard », le livre « 50 ans d'humour hippique » vus par Joyeux, des calendriers 2021 de Joyeux ainsi que de nombreux livres sur les courses. Pour gagner, il faudra vous rapprocher le plus possible de ces trois questions.
1) Avec combien de succès Eric Raffin terminera-t-il l’année 2020 ?
2) Quelle réduction kilométrique affichera le lauréat du Grand Prix de Noël le dimanche 27 décembre à Cagnes ?
3) Quel cheval finira à la troisième place du Critérium Continental (troisième épreuve qualificative au Prix d’Amérique) qui se courra le dimanche 27 décembre à Vincennes ?
Pour espérer gagner, vous devrez impérativement rejoindre notre page sur Facebook, aimer le post dédié au concours, le partager sur votre page, et bien entendu répondre à ces trois questions uniquement via la messagerie de notre page Facebook sous la forme suivante :
1) 54 victoires
2) 1’24’’7
3) Ready Cash
Attention : La date limite pour l’envoi de vos réponses est fixée au vendredi 25 décembre à 23h59. Tout message reçu au-delà de l’horaire fixé ne sera pas pris en compte.
Les participants ayant rempli ces conditions et indiqué le plus de bonnes réponses seront contactés par nos équipes au plus tard le 3 janvier 2021 afin de nous communiquer leur adresse pour l’envoi de leur lot.
Il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter bonne chance et de bonnes fêtes de fin d’année.
La rédaction du Quotidien Le Veinard


Mickaël Dollion extrait le nectar de Cectar
Publié le VENDREDI 18 DECEMBRE 2020


Entraîné par Mickaël Dollion, Cectar avait aligné en fin d’année 2019 quatre succès de rang. Arrêté plusieurs mois pour bons services rendus à cette petite écurie de l’Orne, le fils de Nectar avait récemment annoncé du côté de Nantes et d’Amiens son retour en grande forme. Fallait-il encore pouvoir digérer la Grande Piste de Vincennes qu’il découvrait ? Alors, pour s’en persuader, Franck Nivard prenait le volant du peloton au pied de la montée. Le juge de paix. Guère attaqué, il lui fallait attendre l’effort de la favorite Darling Berry dans le tournant final, mais Jean-Michel Bazire ne réussira jamais vraiment à contrarier les plans de ce hongre de 8 ans qui en a conservé sous les sabots. Initialement affichée troisième, Diva du Granit disparaissait du tableau une fois le rouge posé sur l’arrivée pour une gêne contraignant la pauvre Datcha (à priori pétrie de ressources) à la faute dans l’ultime virage. Les malheurs de Jean-Philippe Monclin et de Yoann Lebourgeois faisaient le bonheur de Duc d’Or, de Crazy Charm et surtout de Duc du Vivier qui intégrait le Quinté ce vendredi. Mickaël Dollion, l’un des plus adroits débourreurs du circuit, décroche ainsi en tant qu’entraîneur l’une des plus précieuses victoires de sa carrière avec seulement une poignée de trotteurs prête à courir dans ses boxes. Un moment particulier à savourer…


Kévin Devienne, le conseiller de El Presidente
Publié le VENDREDI 18 DECEMBRE 2020


El Presidente a immédiatement mis l’entraînement de Jean-Marie Roubaud à l’honneur lors de la réunion inaugurale du Meeting de Cagnes-sur-Mer. Le driver Kévin Devienne est à l’origine de six des sept succès capitalisés par le représentant de l’écurie de Rougemont depuis son arrivée à Fuveau. Auteur de quatorze réalisations depuis janvier, il dresse le bilan d’une première saison chez les professionnels.

Extra du Chatault (Dominik Locqueneux) et Eros Josselyn (Yannick-Alain Briand) n’ont pu que recoller les morceaux. Samedi dernier, alors que le meeting de Cagnes-sur-Mer semait ses premières graines, El Presidente récoltait déjà son septième succès depuis son transfert à Fuveau chez Sylvain et Jean-Marie Roubaud. Sous la casaque de l’écurie de Rougemont, le jeune Kévin Devienne accueillait sa quatorzième victoire de l’année. Encourageant pour une première saison sous le statut professionnel. Une semaine plus tôt, à Vivaux, il avait triomphé pour les mêmes couleurs au sulky de Dear Princess. Ce violet et ce jaune à qui, treize ans plus tôt, Offshore Dream avait apporté toute sa brillance dans le Prix d’Amérique. En 2007, justement, miston avignonnais qu’il était, Kévin rejoignait durant toutes les vacances scolaires l’écurie de Christian Bonet. Simple plaisir. Sans réelles perspectives. Jusqu’à ce que le virus (pas le Corona) du cheval ne le conduise sur les bancs de l’Afasec.

Le mal du pays d'un Avignonnais 

C’est du reste chez l’entraîneur du Sud-est qu’il obtenait son BEP avant de poursuivre sa scolarité à mi-temps entre Cabriès et l’Orne. « Le destin a voulu que Christian Bonnet me mette en relation avec Fabrice Souloy. Ce dernier m’a beaucoup appris. Sans lui, serais-je encore là du reste ?  Pourtant, les allers-retours étaient usants. C’était la première fois que je prenais le train. Je n’avais jamais quitté ma famille. Mais j’ai bien fait, même si, en raison d’une réduction d’effectif, cette riche expérience n’a duré que deux ans. Elle m’a permis de rencontrer des gens merveilleux comme Michel Houel qui m’a dit Kévin, t’es un bon gars, t’inquiète pas je vais te trouver quelqu’un. Telle date tu vas à Vincennes, tu vas voir Jean-Michel Bazire il te prend dans son écurie. L’entretien s’était bien passé et rendez-vous était pris deux mois et demi plus tard pour débuter à Grosbois. Je suis donc redescendu quelques semaines et durant cette période j’ai reçu un appel de Jean-Marie Roubaud qui avait été mis au courant de mon passage dans le Sud. Il avait besoin d’un coup de main suite au départ de l’un de ses salariés. J’ai immédiatement accepté. L’entente avec mes patrons et l’ambiance à l’écurie m’ont vite séduit. Le départ de Damien Barbesant, qui était le premier apprenti de la maison, a ensuite quelque part précipité ma carrière. Je venais de faire mon premier gagnant, j’étais en pleine confiance et l’on m’a dès lors accordé davantage de premières chances. Tout est parti de là. Avec, depuis, des moments d’euphorie, mais aussi des épisodes de remise en question », explique Kévin. Les hauts et les bas d’un métier impitoyable. Qui ne les a pas connus ? On s’accroche ou l’on s’y perd.

Etat des lieux chez les pros

Le jeune driver veut y croire. « Je viens d’enchaîner sept victoires en l’espace d’un mois. Ça fait du bien car l’écurie avait pris une belle claque durant la période post-confinement. On a longtemps été dans l’obscurité. La forme revient gentiment à l’heure du meeting azuréen, même si nous ne sommes pas forcément armés cet hiver pour rivaliser en pareille compagnie. On a quatre ou cinq chevaux capables de fournir de bonnes valeurs comme Evariste du Bourg, Fast d’Avèze, El Presidente, Dolina des Plaines voire Callijo Delbi, un bon petit cheval, dont le programme de l’hiver n’est cependant pas fameux. Je ne veux surtout pas m’enflammer, tout peut aller si vite dans un sens comme dans l’autre. En janvier, je m’étais fixé pour objectif d’en gagner au moins dix avant de dresser un premier bilan. Le score est atteint, mais je ne cache pas avoir longuement réfléchi à mon avenir. C’est un métier dur. Il faut se lever tous les matins quel que soit le temps, aller aux courses, reproduire ça chaque jour pendant des années. Ça finit par peser. Et parfois tu finis par penser que tu ne progresses plus, que ta détermination ne suffit plus. Dans ces passes, Sylvain et Jean-Marie Roubaud sont essentiels. Toujours réconfortants et de bons conseils. Je ne suis pas le plus à plaindre. Je constate tous les jours les galères que rencontrent certains de mes collègues jeunes entraîneurs. Quand la réalité se prend en pleine face, on comprend mieux la chance d’être salarié dans une telle écurie ». Lundi, même si l’engagement n’était à l’heure où nous écrivions cet article pas validé, El Presidente pourrait lui rappeller qu’il compte sur lui pour la suite du Meeting. Bien plus qu’une complicité est née entre les deux associés. « Il est doué et l’on s’entend il est vrai plutôt bien. Il adore l’hiver. Je le pense en mesure de réaliser la passe de cinq, même s’il lui faudra un parcours sur mesure. 2900 mètres c’est long, mais il en est capable s’il est économisé dans le parcours. Dans ces conditions, que ça roule ou pas, il fera un bout vite de deux cents mètres pour finir », prévient le camarade de cour de Steve Stefano, fidèle lieutenant de l’écurie Roubaud. « Il existe vraiment une bonne entente avec Steve. La concurrence n’existe pas entre nous. On cherche surtout la complémentatité ». Sans véritable chef-de-file comme ont pu l’être Viking d’Hermès ou Alain d’Occagnes ces dernières années, la team Roubaud demeure néanmoins solide. Dans le milieu, on a appris que les violet et blanc ont la casaque dure. Sur la Riviera comme partout ailleurs du reste.

Fabrice Rougier


Les grandes premières de Monty
Publié le JEUDI 17 DECEMBRE 2020


Dans le jargon, il aurait pu se dire qu’il était le « x » du Quinté disputé jeudi. Cheval autrefois entraîné par Alain de Royer-Dupré, aujourd’hui dans les boxes d’Andrea Marcialis, Monty découvrait Deauville, mais aussi les 1900 mètres. Comme si cela ne suffisait pas, cet adepte du gazon et des terrains profonds goûtait au sable fibré. Et, comble du comble, ce cinquième du Prix Exbury (Grp. III) au printemps s’aventurait dans l’inconnu et plus particulièrement dans la catégorie des handicaps à l’occasion d’un Quinté. Quelle mission pour son associé Mickaël Barzalona ! Mais le crack jockey en a connu d’autres. Dans ce lot touffu, mieux vaut ne rien attendre de personne. Rapidement aux commandes du peloton, talonné par le favori Planteur Davier et Rivemp, le fils de Motivator enfonçait le clou en début de ligne droite pour vivre ensuite sur son avance. Au même titre que dans l’épreuve référence du 25 novembre sur ce tracé, les bonnes notes pleuvaient dans le dos du lauréat, la régulière Ficelle du Houley et El Manifico s’emparant des accessits au prix de belles conclusions à l’extérieur. Quant à You Rock, pas du tout impressionné face à ses aînés, il formulait quelques promesses à l’instar de Savoir Aimer. Apprécié en 40,5 de valeur, le handicapeur va très certainement réajuster la copie d’un franc lauréat... visiblement aussi doué que véloce et tenace.

Arrivée du Quinté : 5 - 4 - 7 - 16 - 8   


De plus en plus Etonnant
Publié le MERCREDI 16 DECEMBRE 2020


Avec le Prix de Cornulier dans le viseur, le Prix Auguste-François (Grp. III) conviait mercredi une partie de l’excellence du trot monté même si l’on notait les absences des trop riches Boss du Meleuc, double tenant du titre, et Bilibili, lauréat des deux précédentes éditions de la course la plus prisée sous la selle au Monde. Une aubaine pour le beau Etonnant, spécialiste des parcours de vitesse, même s’il découvrait dans les raquettes de départ deux nouveaux venus dans la discipline – et pas des moindres – à savoir Dreammoko, son demi-frère par Timoko, et Looking Superb dont l’édition 2019 du Prix d’Amérique incite au plus profond respect. Ni l’un, ni l’autre ne répondront pourtant aux attentes de leur entourage. Le rythme imposé par Etonnant, sous la pression dans la montée de Clara du Pontseuil, aurait il est certain démoralisé une armée d’optimistes. En début de ligne droite, l’élève de Richard Westerink se préservait du retour de la résistante Daida de Vandel et d’un retrouvé Carly qui composaient le trio devant Chalimar de Guez à qui il ne manque pas grand-chose pour donner du fil à retordre à ses prédécesseurs. Avec Etonnant, Bilibili sait désormais qu’il trouvera à qui parler tout au long des 2700 mètres le 24 janvier prochain.


Grazano accepte toute forme de pénibilité
Publié le MARDI 15 DECEMBRE 2020


Deux ans après Présidente Line, Alain Couétil a remis le couvert dans le Prix Georges-Pastre, notre Quinté du mardi. Pourtant la nappe n’était pas vraiment mise en raison d’un début de parcours des plus ténébreux. Repris à plusieurs occasions derrière des adversaires dominés, Grazano trouvait enfin un providentiel passage en face pour se rapprocher en longeant la lice. Alors au cœur du combat, le partenaire de Thomas Beaurain passait la surmultipliée en fin de l’ultime courbe, assurait le dernier obstacle et surveillait dans le rétro la favorite Flèche Rouge et Avel de Kerbarh se disputer dans cet ordre les accessits. Alors qu’ils étaient encore très nombreux à pouvoir s’imposer au saut de l’ultime difficulté, Kerfany écartait quant à lui Tzar Royal à la cinquième place aux abords du poteau. Après Landivisiau et Nantes (deux fois en terrain pénible), Pau devient donc l’autel du troisième succès de ce poulain qui pourrait l’an prochain, comme l’avait fait la fille de Martaline, tenter sa chance Outre-Manche pour, pourquoi pas, courir après les petites anglaises.    


Mentions légales Politique de Confidentialité
En poursuivant votre navigation, vous acceptez le dépôt de cookies permettant la personnalisation des contenus, le partage sur les réseaux sociaux, la mesure d'audience et le ciblage des publicités. Votre navigateur ainsi que des outils en ligne vous offrent la possibilité de paramétrer ces cookies.