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2020 Semaine 98

Golden Witch enfonce enfin le Clou
Publié le DIMANCHE 14 NOVEMBRE 2021


Fille de Golden Clou, une poulinière qui n’envoie que des gagnants sur le circuit, Golden Witch s’est adjugée dimanche le Prix Marc-Anthony (listed-race). Troisième en septembre dans un Prix Guillaume-de-Pracomtal qui s’imposait comme son premier grand objectif de l’automne, au même rang un mois plus tard dans le Léopold-Bara, la pouliche façonnée par Sonia Delaroche méritait tout de même de profiter pleinement des acclamations des balances, elle qui courait après un succès depuis ses débuts aussi bien en plat qu’en obstacle. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé bien plus tôt, d’avoir souvent séduit aussi… mais dans l’événement dominical toutes les planètes se sont enfin alignées et Maxime Farcinade, librement venu aux côtés de Ludovic Philipperon et Dinozaure dans le tournant final, n’avait plus qu’à écrire leur pré-histoire. Henri Le Farceur avait beau terminer en trombe, Air Commodore tirer bénéfice de l’appui du rail extérieur, rien n’empêchera ce sympathique trio cheval-entraîneur-jockey de conjointement célébrer l’un des plus magiques moments d’une carrière, une première victoire de Quinté.


Thelème en solitaire
Publié le DIMANCHE 14 NOVEMBRE 2021


On avait réglé nos montres. On en rêvait tellement depuis quelques jours… le duel entre Hermès Baie, invaincu cette année, et Thelème, qui souhaitait reprendre le leadership de la génération des hurdlers de 4 ans a prématurément prononcé son verdict à un tour de l’arrivée quand le partenaire de Bertrand Lestrade, sur une erreur de jeunesse, effectuait un improbable écart aux abords du poteau d'arrivée pour désarçonner le jockey le plus expérimenté au départ de ce Prix Renaud du Vivier, dernier Groupe I de la saison de galop. A partir de là, Pierre Dubourg n’avait plus qu’à redoubler de vigilance pour emmener au succès un élève d’Arnaud Chaillé-Chaillé qui ne manquait pas du reste de lui donner quelques sueurs froides sur l’avant-dernière difficulté alors qu’il était à la lutte avec Colbert du Berlais. Le dernier obstacle franchi, Thélème se souvenait de ses excellents débuts en plat et passait huit longueurs au représentant de Marcel Rolland suivi par Martator. Comme dans le Prix Cambacérès (Grp. I), à l’automne dernier, où Hermès Baie avait négligé le premier balai, Thélème l’emporte sans combattre et reste le numéro de sa spécialité. On ne pourra malheureusement pas dire incontestablement. Arnaud Chaillé-Chaillé et Pierre Dubourg, en fins stratèges et compétiteurs, auraient certainement aimé l’emporter d’une autre manière.  


Heureux qui comme Sébastien Poilane
Publié le DIMANCHE 14 NOVEMBRE 2021


Un week-end sur deux Le Veinard s’invite dans la cour d’un professionnel.

L’élevage de Bouère nous a permis depuis près d’un demi-siècle de nous familiariser avec ce bout de Mayenne. Une vitrine pour ce village situé à 20 kilomètres de Château-Gontier. Dans le catalogue de l’écurie, tour à tour se sont révélé J’Arrive de Bouère, Lord Angot ou encore Mélodie du Réaume qui ne tardait pas, au milieu des années 2000, à assurer la parfaite transition entre un père et un fils. Un passage de témoin en douceur entre André et Sébastien Poilane pour, finalement, une efficacité identique. On ne change pas une équipe qui gagne même si le patriarche a, depuis, laissé libre expression au seul fils de la famille. En toute insouciance. « La succession s’est orchestrée naturellement. Il a petit à petit lâché du lest. Aujourd’hui, à 88 ans, il occupe davantage, par la force des choses, une place d’observateur. Mais il demeure très attentif et se rend encore parfois aux courses. On aime vraiment nos chevaux. C’est difficile de tout arrêter. Même quand on a voulu nous les acheter à bons prix, nous ne nous en sommes jamais séparés. Papa m’a beaucoup appris en termes de gestion d’une écurie et d’élevage ». A 48 ans, Sébastien n’a donc rien inventé. Il poursuit l’ouvrage familial en faisant de sa discrétion une force. Pas besoin d’en dire long quand vos trotteurs parlent pour vous. Et s’il en est un qui hausse particulièrement le ton à l’heure actuelle au « Marbouet » c’est forcément Heureux de Bouère. « C’est à ce jour le meilleur de tous. L’espoir n°1. Il vient de faire une très bonne rentrée mercredi à Nantes. Je le crois capable de gagner cet hiver à Vincennes. Il faudra également racheter Fier de Bouère qui n’a pas eu le bon parcours, à deux nez au vent, mardi à Chartres.  On y a également vu Folie de Bouère qui porte bien son nom. Elle est pourtant gentille le matin, mais j’ai l’impression qu’elle veut trop en faire en course et rejoint du coup souvent la colonne des disqualifiés.

Jakadi et Jolie de Bouère des 2 ans précoces

Espion de Bouère vient de s’imposer à Saint-Brieuc. Il reste meilleur à droite, mais en prenant de l’âge il tourne de mieux en mieux à gauche. Malgré ses départs toujours un peu laborieux il devient sérieux et sera à suivre sur les longues distances. Doudou de Bouère a un peu moins de classe mais il demeure pratique. Grille Pain est un bon petit cheval acheté aux ventes de Caen qui détient un peu de marge. Fidèle de Bouère a franchi un cap cette année, malheureusement j’ai dû le stopper en raison de problèmes de jambes. Cela dit, il revient bien. Il lui manque encore un peu de travail, mais on préfère prendre notre temps le but étant avant tout de réussir à les faire vieillir. Ginger de Brasse a du potentiel. Izelbio est un poulain perfectible. Comme il a fini par gagner sa course au bout de sa sixième tentative, on a préféré le mettre au repos et le conserver pour l’an prochain. C’est selon moi un bon cheval d’avenir. Il est brave et possède une certaine tenue. Le cas de Interdit de Bouère est similaire. Ce sont des poulains qu’on apprécie. Ixia de Bouère a fourni à l’occasion de sa deuxième place une très bonne rentrée à Cordemais. Il ne faut pas s’arrêter sur sa sixième place ensuite à Pornichet car elle n’a pas apprécié la piste collante. On la reverra courant novembre à Saint-Brieuc ou à Cherbourg. Il est un peu trop tôt pour savoir où l’on va réellement avec nos 2 ans, mais Jakadi de Bouère, le frère d’Ixia, et Jolie de Bouère, la propre sœur de Folie, sont les plus précoces et se sont très bien qualifiés ». Ce n’est vraiment pas la mer à Bouère… mais la vague Poilane, elle, n’a pas fini de déferler.


Nicolas Devilder créateur de champions, exportateur de talent
Publié le SAMEDI 13 NOVEMBRE 2021


Dimanche à Auteuil, dans le Prix Renaud du Vivier (Grp. I), Hurrick des Obeaux tentera d’apporter un premier Groupe I à Nicolas Devilder en tant que propriétaire et entraîneur. En sa qualité d’éleveur, il ne compte plus les classiques remportés par les « Obeaux » de l’autre côté de la Manche. Des ventes indispensables pour pérenniser l’un des plus beaux élevages français de l’obstacle.  

A quelques jours du premier Groupe I de Hurrick des Obeaux, Nicolas Devilder ne se pose pas trop de questions. En homme d’expérience. Aguerri. Vacciné pour reprendre un terme à la mode. L’ultime prestation de son protégé dans le Prix Pierre de Lassus (Grp. III), dernière préparatoire à la Grande Course de Haies des 4 ans, n’est surtout pas à prendre au pied de la lettre. Preuves à l’appui. « Un cheval s’était déferré juste avant la course et ça l’a tendu d’attendre dix minutes en tournant en rond au départ. Il en a fait beaucoup trop ensuite durant le parcours. Ce n’était plus le même cheval. Il faut oublier cette course. Je vous garantis que tout est ok. Le cheval est bien, sinon je ne le courrais pas », martèle l’entraîneur stationné dans le Maine et Loire. Même s’il reconnaît… « Ce sera difficile de battre Theleme et Hermes Baie, même si ce dernier, il faut le rappeler, était tombé l’an dernier dans le Cambacérès. Il n’y a pas de chevaux imbattables. Le mien saute vite et bien, il est dur et se donne toujours à fond. Il va dans le lourd, même si je pense que dimanche le terrain sera davantage collant ce ne sera pas un handicap. Il aura aussi pour avantage d’être sellé par Olivier Jouin qui le connaît bien. Ils se font mutuellement confiance ».

"Dimanche ne me fait pas peur"

De la confiance, mais surtout une grande fidélité entre ces deux professionnels qui collaborent depuis quelques saisons. « Olivier Jouin monte pour nous depuis six ans. Je me régale de travailler avec lui. C’est un garçon agréable, qui est un bon cavalier le matin et ce qui n'est pas négligeable un bon jockey l’après-midi. Le matin quand il vient sauter les chevaux à la maison, si les gars n’ont pas fini, ça ne le dérange pas de prendre une fourche et de terminer le boulot avec eux. On a une bonne petite équipe. Mon personnel n’a pas beaucoup d’ancienneté, mais je note de la passion et beaucoup de courage. Je suis content de les avoir et je pense qu’ils sont contents de travailler à nos côtés. Ils s’intéressent aux chevaux, à leurs engagements aussi, il règne vraiment un bon état d'esprit. C’est pourquoi dimanche ne me fait pas peur. Et même si cela venait à mal se passer, je suis déjà très content d’être au départ. J’ai 66 ans, ma carrière est derrière moi. Je suis un homme comblé. J’ai une bonne famille, j’ai des bons salariés, ça me suffit pour être heureux. Des Groupe I, vous savez, on en a gagné en tant qu’éleveurs. Après, remporter un classique en tant que propriétaire, comme l’a fait William Menuet dimanche dernier, ce serait formidable, une cerise sur le gâteau. Je suis du reste content pour William car c’est un type vraiment sympathique. En plus, il s’impose avec mon jockey. Je ne vais pas dire que ça m’a fait autant plaisir que si j’avais personnellement triomphé mais presque. On était aux larmes de le voir s’imposer, surtout après avoir monté une course de rêve ». Hurrick des Obeaux peut en tout cas ponctuer l’année exceptionnelle de cette petite écurie de douze âmes. « Oui et pourvu que ça dure. Ce n’est en tout cas pas grâce à moi. Je suis juste un catalyseur, le cuisinier qui va trouver les bons ingrédients ». Si le mentor attire la lumière des projecteurs en France, l’éleveur, lui, s’est fait un nom en Angleterre, pays où il exporte nombre de ses bébés. Avec un certain brio.

Une jumenterie black type

Du reste, entre entraîner et élever, Nicolas Devilder n’a guère à réfléchir pour livrer son verdict. « Je prendrais bien entendu l’élevage. Messire des Obeaux a gagné son Groupe I outre-manche, Alpha des Obeaux a couru trois fois le Grand National, Houblon des Obeaux a gagné Groupe III et Groupe II, Clan des Obeaux en est à quatre Groupe I, dont deux King George Chase,… Haddex des Obeaux, lauréat au printemps à Auteuil, a également traversé la Manche pour y gagner d’emblée de belle façon. On a quand même de cette chance d’avoir les Anglais. C’est un marché important. Je ne suis pas certain qu’on s’en sortirait en ne gagnant que des courses en France. En tant qu’éleveurs, on a besoin de vendre nos produits. Pour les gars à l’écurie, ce n’est pas très drôle, mais c’est un mal nécessaire. Alors ça râle un peu parfois de nous en séparer prématurément, mais nous en sommes obligés. C’est notre seul revenu avec les gains et les allocations à elles seules ne couvrent pas les frais. Moi je n’ai pas de pensions. Si l’on veut aller vers de bonnes saillies, comme Kapgarde c’est une obligation. Sans Kapgarde, nous n’aurions jamais connu Clan des Obeaux. Quant aux juments, elles sont toutes black type à la première génération. Je suis fier de le dire. Energie des Obeaux, qui est une bonne compétitrice de cross et fait toutes ses courses, ne rentrera pas à l’élevage chez nous car on ne garde que les placés de listed-race au minimum. Je me suis fixé cet objectif et je m’y tiendrai », prévient encore le boss des « Obeaux », du nom qui renvoie aux racines familiales, au Croisé-Laroche, ce plat pays où tout a commencé. « Du Nord, il ne me reste plus rien. Sauf mon épouse. Mais je vous rassure, je l’ai emmenée avec moi dans l’Ouest ». Et des enfants, passionnés, qui prendront le moment venu le témoin de l’élevage. Tous les indicateurs semblent vraiment « Obeaux » fixe.
 
Fabrice Rougier


Rien n’arrête Rebella Matters
Publié le SAMEDI 13 NOVEMBRE 2021


Excellente ouvrière pour qui les vacances n’ont guère d’importance, Rebella Matters, régulière au possible, s’est imposée samedi dans le Prix du Languedoc à Vincennes. Ne faisant que la ligne droite, mais de probante manière, la voisine de box de Elie de Beaufour a damé le pion au favori, et animateur depuis la sortie de la plaine, drivé par Jean-Michel Bazire. La fille de Explosive Matters a dû néanmoins s’employer jusqu’au bout pour repousser le Suédois Milliondollarryme, avec Björn Goop, qui n’était autre que le tenant du titre. Express Jet et Fire Cracker s’installaient ensuite dans la bonne combinaison de ce Quinté de douze protagonistes seulement après la défection de Wild Love. Ce Groupe III qui hébergeait un vainqueur de Groupe I, le lauréat de la finale du GNT et de nombreux adeptes de semi-classiques nous a permis d’entrer dans le vif du sujet avant les belles joutes pour trotteurs d’âge du Meeting d’hiver. Christophe Martens, partenaire sur ce coup de l’écurie de JMB, s’échauffe quant à lui pour un autre feuilleton qui se déroulera dans un peu plus d’un mois à l’extrême Sud-est du pays. Avec l’objectif de mater les locaux comme Rebella a su « Matters » quelques grands spécialistes de la cendrée parisienne.  


Just a Formality de justesse à Toulouse
Publié le JEUDI 11 NOVEMBRE 2021


Après Angers et Nantes, le Quinté poursuivait sa décentralisation jeudi à Toulouse avec un tiers des partants en provenance de Calas.  Les sept heures de camion n’ont pas dérangé Just A Formality qui connait bien la trois voies pour se rendre à La Cépière. Quatrième de ce Prix de la Ville de Toulouse en 2018, cinquième en 2020, le représentant de Christophe Escuder avait cette année toutes les cartes en main pour faire encore mieux. Un bon numéro dans les boîtes pour prendre rapidement possession du train, un jockey qui sortait d’un coup de quatre la veille à Saint-Cloud, et pas n'importe lequel en la personne de Mickaël Barzalona, une distance de 2400 mètres bien plus conforme à ses aptitudes, une valeur l’autorisant à rebondir dans les événements et un terrain très souple comme l’affectionne ce spécialiste des gros handicaps adulé par toute l’équipe du Haras de la Gousserie. Une addition de faveurs qui a donné le résultat escompté, mais il s’en est fallu d’un rien pour que Olympie réalise la bonne opération. Encore dans le ventre mou du peloton à deux cents mètres du but, l’élève de Jérôme Reynier crevait les jumelles le long de la corde et échouait d’un petit nez à l’issue d’une remarquable conclusion comme sait les provoquer Guillaume Millet. Les outsiders Pjedro, Chief of Stall et Incitatus s’emparaient des allocations suivantes. Le courageux fils de Spirit One nourrit son palmarès d’un quatrième Quinté. Les puristes vous expliqueront que c’est tout sauf une simple formalité.


Eddy du Vivier…. Tout est dit !
Publié le MERCREDI 10 NOVEMBRE 2021


Jean-Michel Bazire pouvait inscrire son nom au palmarès du Grand Prix Loire-Atlantique pour la cinquième fois consécutive mercredi à Nantes. Cleangame, lauréat des éditions 2018 et 2019, tentait pour sa part d’enchaîner un sixième succès de rang après ses démonstrations en province et son titre dans le Prix d’Eté (Grp. II). Cinquante mètres devant, Fly Speed, rarement déferré des quatre pieds, n’avait alors d’autre rôle que celui de chef d’orchestre. Jean-Philippe Monclin ouvrait donc d’emblée le cortège, Cleangame se rapprochait dans la ligne d’en face… et tout semblait bien se présenter pour les deux grands favoris de cette 13ème étape du GNT. Seulement, à mi-ligne droite, Fly Speed s’éteignait, et Cleangame se perdait dans ses allures en partant défier Doux Parfum. Sale temps pour les matelassiers du Petit Port qui voyaient Eddy du Vivier longer le rail extérieur pour dominer dans le bon timing l’élève de Guillaume Gillot. Eire d’Hélios rappelait sa forme en se classant troisième, bien qu’elle montait de catégorie, devant Destin Carisaie et Eros du Chêne.  Un mois et demi après avoir agrafé son premier Quinté à Vincennes, le bébé de Jean-Yves Lecuyer réédite et se sublime d’un Groupe III. Une belle opération pour Patrick Terry qui, outre le succès, creuse l’écart sur ses poursuivants au classement des entraîneurs et repart avec un nouveau maillot jaune pour Crack Money, malgré son absence à l’arrivée. Il ne manquait plus que Cédric au sulky, en voyage à Saint-Galmier, pour que le bonheur soit total.


Madison Avenue, Madison a vu, Madison a vaincu
Publié le MARDI 09 NOVEMBRE 2021


Elle n’avait pas l’expérience de Millfield (43 Quintés), mais elle avait pour elle sa jeunesse et sa forme. Jean-Philippe Dubois a réalisé le bon choix en affrétant Madison Avenue dans le Quinté angevin, mardi, le Handicap d’Angers Loire Métropole. Sa sixième participation à ce niveau, en y affrontant ses aînés pour la première fois, s’est soldée par un succès à l’arraché. Car J’aurais Dû, l’élève de Cédric Boutin, a su lui aussi tirer profit de son bon numéro dans les boîtes. Rapidement aux commandes, puis repris par Mickaël Forest pour galoper dans les postérieurs de Kaviare, J’Aurais Dû lançait le sprint à 350 mètres du disque faisant longuement illusion avant de subir la foudroyante accélération de la partenaire de Gérald Mossé. En léger retrait, Highbari, longtemps ménagé le long du rail, nous gratifiait d’une conclusion dont il a le secret pour subtiliser le dernier accessit à Norwegian Sir. Dans un terrain plus rapide que ne l’auraient anticipé les experts en météorologie d’Anjou, les places à la corde ont une fois encore, sur ce circuit de 1600 mètres, été déterminantes puisqu’il ne fallait pas aller chercher la bonne combinaison au-delà de la stalle n°3. Dans l’ordre s’il vous plaît. Cela ne garantit cependant pas de s’imposer d’une Avenue… Qu’importe pour « Madison » dont le palmarès s’enrichit à 3 ans d’un premier gros handicap.


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